
La santé, sûrement la plus belle.

L'intéret que nous portons à la maladie et la santé est universel.
La thérapie conventionnelle souffre actuellement. En effet, les services de santé en France sont malades. Dans les hôpitaux, le manque de personnels, le manque de moyens, les restrictions de budgets, la fermeture des services entravent le bon fonctionnement des soins. En campagne, la désertification médicale est plus qu’inquiétante. Et pourtant, la médecine contemporaine est nécessaire à l’être humain. Sans elle, nous ne pourrions pas ou difficilement poursuivre notre chemin de vie, et accomplir ainsi la mission qui nous est confiée. En effet, ce soin thérapeutique permet grâce à l’apport de substance chimique ou en agissant directement sur le corps à soigner le mal de la partie du corps affaibli. Comme toute science, elle possède ses propres limites.
« Tout va bien, vous n'avez rien. » Qui n'a pas sursauté à l'énoncé de ce verdict rassurant. « Rien, vraiment rien, docteur? Mais alors, ce mal de dos, de ventre, ces migraines? D'où viennent-ils si les radios et les analyses de sang n'en montrent aucune trace? »
« Docteur, je n’ai plus le moral. Je suis perdu. Je n’arrête pas de penser et je n’avance plus. C’est un problème psy répond ce dernier ». Qui n’a pas un jour été confronté à ce style de réponse ?
D'après les spécialistes, 80 % de nos dérèglements intérieurs seraient liés au stress et au mode de vie. Face à ces maux des temps modernes, la médecine conventionnelle est souvent désarmée. Aussi, pour soulager leurs peines, de plus en plus de Français se tournent vers une autre médecine : la médecine douce. Ces dernières années, une nouvelle science du bien-être s'est imposée. Cette médecine sans médicament permet de réconcilier - enfin - le corps et l'esprit des personnes.
« On ne peut guérir la partie sans soigner le tout. On ne doit pas soigner le corps séparé de l'âme, et pour que l'esprit et le corps retrouvent la santé, il faut commencer par soigner l'âme. Car c'est une erreur fondamentale des médecins d'aujourd'hui : séparer dès l'abord l'âme et le corps. »
PLATON